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«Le mont Dolent, unique sommet franco-italo-suisse, est le symbole de cette coopération transfrontalière.»
Et moi, je fais quoi ?
¤ Je privilègie les transports en commun
¤ Je vais à l’école ou au boulot à pied ou à vélo
¤ J’utilise toutes les places de ma voiture en faisant du co-voiturage. C’est plus rigolo et en plus, je partage les coûts de carburant et de stationnement
¤ Je coupe mon moteur lors des arrêts prolongés
¤ Je trie mes déchets afin de réduire la quantité à incinérer
¤ J’évite les efforts physiques lors des pics de pollution afin de ménager mon organisme
¤ Je fais régler ma chaudière, elle consommera moins et donc polluera moins
¤ Je ne brûle pas mes déchets verts, je les utilise pour enrichir mon compost ou je les emmène à la déchetterie où ils seront valorisés
Seul, on brasse de l’air… Ensemble, on agit.
Parce que l’air dépasse nos frontières, nous les avons également franchies… Depuis 2001, trois régions alpines de Suisse romande (Genève, Vaud et Valais), de France (Ain, Savoie et Haute-Savoie) et d’Italie (Vallée d’Aoste) ont posé les bases d’une coopération transfrontalière durable pour mieux comprendre notre atmosphère et ont donné naissance au projet Transalp’Air.
Transalp’Air, c’est une équipe de collaborateurs issus de différents réseaux d’observation, et une cinquantaine de stations de mesures réparties dans les trois pays limitrophes de part et d’autres du Mont-Blanc.
Transalp’air permet d’effectuer une surveillance constante de ce territoire et de mettre à disposition du public une information sur la qualité de l’air de manière homogène.
L’Arc Alpin est un secteur sensible. Des paysages à nous couper le souffle, la haute montagne, les plaines, les glaciers, les lacs… le tout agrémenté d’une biodiversité rare et des espaces naturels protégés. Toutes ses richesses le rendent particulièrement fragile… Les nombreuses activités qui se sont développées (Tourisme, industrie, transit, chauffage…) sont autant de dangers potentiels de par leurs émissions polluantes…
Les Alpes sont un laboratoire à l’échelle humaine, un espace sous influence où tout s’y retrouve condensé qui marchent sur une corde raide. Pour préserver l’équilibre délicat entre l’homme et la nature, pour protéger notre qualité de vie, il faut apprendre à connaître notre environnement. C’est ce que nous tentons de faire, et ce que nous souhaitons partager avec vous.