Une collaboration pluridisciplinaire …
Les mécanismes et processus mis en jeu dans la pollution atmosphérique sont éminemment complexes et nécessitent de faire appel à des connaissances et des compétences diversifiées pour les appréhender dans leur globalité. Autour de POVA, Air-APS 
et le LGGE , organismes co-coordonnateurs du programme, ont fédéré différentes équipes de recherche internationalement réputées dans leurs spécialités respectives.
Mesurer pour comprendre
Le dispositif mis en place a permis de mesurer plusieurs dizaines d'espèces chimiques, qu'elles soient gazeuses ou particulaires. Certaines, connues pour leurs effets sur la santé, sont clairement identifiées et réglementées (oxydes d'azote, ozone, particules en suspension de diamètre inférieur à 10µm, …). D’autres composés peuvent être de très bons indicateurs des sources qui les rejettent ou de réactions chimiques (par exemple les Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP) produits lors de phénomènes de combustion, et les Composés Organiques Volatils (COV) parmi lesquels le benzène, réglementé car cancérogène).
Comprendre pour modéliser
Le délicat travail des chercheurs chargés de la modélisation a consisté à intégrer les connaissances acquises au cours des campagnes de mesure dans un outil informatique opérationnel, seul moyen de gérer la complexité des processus physiques et chimiques impliqués. La confrontation des résultats de simulation aux mesures acquises sur le terrain a permis de tester ensuite la robustesse du modèle.
Sites de mesure en Maurienne (Passez la souris sur la carte)
Sites de mesure à Chamonix (Passez la souris sur la carte)
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